En octobre 2022, un véritable raz de marée s’est abattu sur les praticiens en médecine douces. Entre L’accroissement vertigineux du nombre de thérapeutes, les procès d’intention et la diabolisation dus à une frange minoritaire de praticiens ou encore la méconnaissance de ces approches complémentaires, choisir un bon praticien semble être parfois compliqué. Pourtant, de nombreux pays limitrophes tels que la Suisse ou l’Allemagne ont déjà intégré
ces médecines complémentaires en les faisant bénéficier d’un statut et d’un véritable encadrement. Conscientes d’un changement nécessaire, en France, deux entrepreneuses ont lancé une plateforme innovante, Tibria, contribuant à proposer pour ces pratiques un environnement et des professionnels transparents, sérieux et humains.
Le paradoxe entre le plébiscite des français et le dénigrement d’une frange de professionnels de santé On ne peut ignorer l’engouement pour ce type de pratique par une majorité de français. Loin d’être dû à un effet de mode, cet emballement résulte d’une reconnaissance des bienfaits de certaines de ces méthodes. 86 %des français affirment avoir une vision positive de ce type d'approches*. Pourtant, contrairement à certains de nos voisins frontaliers, la France continue de fonctionner en la matière, sur une législation obsolète datant de 1892**. En Allemagne, précurseur en médecine douce, le praticien détient le statut de Heilpratiker, soumis à des critères stricts, permettant de rassurer le patient sur la qualité de formation des praticiens. En France, nombre de professeurs en médecine déplorent le manque de formation et d’informations des étudiants en médecine concernant ces disciplines. Visualisant une évolution constante des pratiques, de nombreux médecins encouragent ces techniques en accompagnement d’une approche traditionnelle de la médecine. Malgré les voix minoritaires s’élevant contre les médecines complémentaires, 48% des patients ont été dirigés vers ces pratiques par un professionnel de santé*. Transparence et compréhension sont les deux premières étapes à franchir afin d’accueillir ces pratiques de la même façon que nos voisins européens. Et, c’est un dessocles établi par la plateforme Tibria.
Tibria met au point un annuaire fiable de professionnels en médecine douce
Alertées par le foisonnement de propositions et le manque de visibilité de certains praticiens fiables. Nadia Cousot et Camille Laroque ont choisi d’offrir une plateforme éthique et transparente à la région du Grand Est. Chaque professionnel présent sur la plateforme est choisi avec minutie à travers un protocole exigeant de vérification. Les deux
entrepreneuses ont également pris en compte le manque de connaissance entourant ces pratiques: chaque technique est expliquée de façon détaillée afin de répondre aux éventuels questionnements des utilisateurs. Valeurs et bienveillance entourent la création de la plateforme Tibria, pensée dans le moindre détail dans l’optique de rendre accessible ces méthodes complémentaires dont l’enthousiasme ne cesse de croître.